L’hôtellerie et la crise sanitaire
Pour l’hôtellerie de luxe, très dépendante des flux des visiteurs internationaux, l’année est sombre et dans de nombreux cas ce type d’hôtels a « hiberné » complètement en attendant des jours meilleurs.
L’hôtellerie des grandes villes (à commencer par Paris) a été fortement touchée.
L’hôtellerie de plein air, de loisirs a très vite redémarré après le 1er confinement et a connu une période estivale très satisfaisante.
Quant à l’hôtellerie super économique, elle fait une nouvelle fois preuve de sa résilience. Dès le début du mois de Juin, elle avait repris son activité à plus de 75%, grâce aux travailleurs du bâtiment, du transport, de l’approvisionnement1.
Le secteur hôtelier en mutation
L’hôtellerie comme de nombreux secteurs est en train d’évoluer : entrée en force de la digitalisation, mise en place des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), éco responsabilité, flexibilité de l’hébergement, créations de nouvelles enseignes (Voco du groupe IHG, Greet du groupe Accor, Rocky Pop du groupe Assas) qui créent de nouveaux concepts adaptés aux modifications de notre société.
Hôtellerie : quelles opportunités ?
La crise se traduisant par des taux d’occupation moindre, le contexte est favorable à la réalisation de travaux qui permettront de faire la différence lors du redémarrage. Le secteur peut ainsi s’adapter aux bouleversements des modes de consommation actuels.
Même si les prix ne sont pas « cassés », il existe de réelles opportunités d’acquisition. CIC Banque Privée, en direct ou via différents partenariats, est à même de vous présenter des offres dans le domaine de l’hôtellerie : hôtels complets ou « fonds » spécialisés permettant d’investir avec des tickets d’entrée moins conséquents (à partir de 100 K€).
Parlez-en avec votre banquier privé qui saura vous conseiller en tenant compte de votre profil d’investisseur et de vos objectifs.