Le marché du travail d’aujourd’hui est bien différent de celui d’hier. Le CDI n’est plus la seule norme. La France compte pas moins de 4 millions d’actifs en CDD, intérimaires, micro-entrepreneurs, saisonniers ou intermittents du spectacle.
Les attentes des Français qui travaillent ont changé. Ils sont heureux de l’indépendance que leur confère ces nouvelles formes d’emploi. Toutefois, ne pas disposer d’un CDI est toujours perçu par la société comme un handicap majeur pour accéder au logement comme le révèle l’enquête exclusive menée par l’IFOP pour le CIC1 auprès de 2 000 Français (en CDI ou hors CDI).
Entreprise à mission, le CIC place l’accès à la propriété du plus grand nombre au coeur de ses engagements. C’est la raison pour laquelle il adapte son modèle d’affaires aux transformations de la société en supprimant le verrou du CDI sur le crédit immobilier. Conçu pour ses clients fidèles2 hors CDI, le Prêt Immo Nouvelles Formes d’Emploi leur permet d’adapter leurs mensualités à la variation de leurs revenus, sans frais ni justificatifs.
« Nous sommes une société de la discontinuité. Tout comme nos vies privées et nos lieux d’habitats, nos emplois sont discontinus. Dans cette société de libertés, les Français entendent pouvoir choisir leur emploi du temps, changer de travail… en somme, ne pas avoir de patron. Pour les entreprises, comme les banques, le grand enjeu est d’intégrer cette discontinuité dans leur modèle d’affaires. », relève Jean Viard, sociologue, directeur de recherche au CNRS et au CEVIPOF (Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris).
« Bien que l'aspiration à l'accession à la propriété soit partagée aussi bien par les actifs hors CDI (70 %) que par ceux en CDI (78 %), on observe un fait majeur : tout le monde est d’accord pour dire que ne pas être en CDI est un verrou important pour l’accès au crédit immobilier. C’est pourquoi on observe un mécanisme d’autocensure chez les personnes qui ne sont pas en CDI. Dans ce contexte, un crédit immobilier spécialement adapté suscite un fort intérêt pour ces Français (75 %). », précise François Legrand, directeur d’études à l’IFOP.
« Le CDI n’est plus le seul sésame pour obtenir un crédit immobilier et devenir propriétaire de sa résidence principale. Avec le Prêt Immo Nouvelles Formes d’Emploi, nous envoyons ce message clair à nos clients fidèles. Guidés par notre démarche d’entreprise à mission, cette offre sur-mesure les accompagnent dans l’un des projets majeurs de leur vie. Accéder au crédit immobilier sans CDI était l’exception, nous souhaitons aujourd’hui en faire une norme de marché en levant le verrou du CDI. », déclare Daniel Baal, président du CIC.
Les Français qui travaillent sans CDI : un choix assumé et réussi !
Pour 82 % des Français en CDD, intérimaires, micro-entrepreneurs, saisonniers ou intermittents du spectacle, leur statut professionnel actuel est un choix délibéré. Parmi ces travailleurs, nombreux sont ceux qui apprécient particulièrement leur situation, citant une meilleure qualité de vie et un sentiment de liberté accru par rapport à un emploi en CDI. Cependant, les préférences varient selon les catégories : si les indépendants sont généralement satisfaits de leur statut, une proportion significative de CDD exprimerait une préférence pour un emploi en CDI s'ils en avaient l'opportunité.
Une large majorité des Français qui occupent ces nouvelles formes d’emploi (58 %) sont satisfaits de leur rémunération. Parmi eux, près d’un sondé sur deux (46 %) déclare que leurs revenus peuvent varier d’un mois à l’autre. En conséquence, ils emploient des stratégies efficaces pour optimiser leur budget. Plus prudents que les actifs en CDI, ils sont plus nombreux à se constituer une épargne de précaution pour s’adapter à ces fluctuations (+ 13 points vs. population en CDI).
Plus de 8 Français hors CDI sur 10 se déclarent désavantagés pour le crédit immobilier
Là où le bât blesse, c’est en ce qui concerne le logement. Bien que l'aspiration à l'accession à la propriété soit partagée aussi bien par les actifs hors CDI (70 %) que par ceux en CDI (78 %), on observe un fait majeur : tout le monde, CDI comme CDD et autres, est d’accord pour dire que ne pas être en CDI est un verrou important pour l’accès au prêt immobilier. Seulement 46 % des actifs hors CDI sont propriétaires alors que cette proportion atteint trois actifs sur cinq (60 %) pour les Français en CDI.
Ne pas être en CDI est également perçu comme un réel handicap pour se loger selon plus de neuf Français sur dix (93 %). Il s’agit d’un véritable consensus partagé par toute la société : les actifs en CDI (92 %), ceux qui occupent de nouvelles formes d’emplois (94 %), et vraisemblablement également les propriétaires loueurs, les agences de location… voire les banquiers !
D’ailleurs, seulement 42 % des actifs sans CDI ont déjà formulé une demande de crédit immobilier (contre 60 % des salariés en CDI). Cette autocensure est plus marquée chez les salariés en CDD (36 % ont formulé une demande) et les intérimaires (35 %). La principale raison ? Le fait de ne pas être en CDI a été cité par 71 % des personnes qui ont envisagé d'acheter un logement mais n'ont pas fait de demande. Les actifs hors CDI s'autocensurent davantage. Comment s’en étonner alors que 82 % des actifs hors CDI ont le sentiment d'être désavantagés par rapport aux actifs en CDI pour l'obtention d'un crédit.
1 Sondage IFOP X CIC mené du 28 août au 9 septembre 2024 auprès de 2 000 répondants CDI et hors CDI représentatifs de la population française selon la méthode des quotas.
2 Pour les clients depuis 3 ans et plus, et à condition que l’un des deux emprunteurs ait comme statut ou contrat de travail : CDD, intérim hors CDI, saisonnier, intermittent du spectacle, auto entrepreneur et free-lance.
3 CRÉDIT IMMOBILIER SOUMIS A CONDITIONS. Après étude et sous réserve d’acceptation du dossier par la Banque. Délai de réflexion emprunteur : 10 jours. Vente subordonnée à l’obtention du prêt. A défaut, le vendeur doit vous rembourser les sommes versées. Voir conditions détaillées en Agence CIC et sur www.cic.fr. Pour un Prêt Immo Nouvelles Formes d’Emploi d’un montant de 250 000 € sur une durée totale de 240 mois, au taux annuel débiteur fixe de 4 %. Remboursement en 240 mensualités de 1 514,95 € hors assurance, 2 500 € de frais de dossier, frais de garantie 1 442 €. Montant Total dû : 371 788,79 € (assurance emprunteur habituellement proposée incluse / non incluse). Taux Annuel Effectif Global (TAEG) fixe de 4,44 %. Coût de l’assurance emprunteur proposée habituellement - garanties décès, perte totale et irréversible d’autonomie, incapacité de travail et invalidité permanente : Montant total de 6 701,52 €, première cotisation mensuelle de 28,85 €, cotisation mensuelle maximum de 31,43 €, taux annuel effectif de l’assurance (TAEA) de 0,22 %. Après étude et sous réserve d’acceptation de votre dossier. Cotisation indicative et s’ajoutant à la mensualité du crédit, donnée pour un assuré âgé de 30 ans, non-fumeur et exerçant la profession d’indépendant gestionnaire de spectacle ou de service récréatif. Les cotisations évoluent tous les ans en fonction de l’âge de l’assuré et du capital restant dû.